L'Axe de Justin 1

Avant-propos :

Cette histoire est un dérivé de la nouvelle « Men’s manor » qui racontait la torride soirée de sexe pluriel vécue par un trentenaire, à l’intérieur d’un manoir regorgeant autant d’étudiants que de jeunes hommes.

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« Il faut que je me calme ! Je dois garder le contrôle ! Tout le wagon va finir par voir que je n’arrête pas de bander ! »

Malgré les secousses du train Justin ferma les yeux, se concentra. Il avait beau avoir sorti un bouquin de cours, son esprit le renvoyait sans cesse à la soirée qu’il avait passé le samedi précédent à l’intérieur d’un manoir rempli de gays nus à la recherche de plaisirs masculins multiples.

Avec ses amis Fred et Gilles, il y avait passé un magnifique moment de copulation débridée, entre jeunes principalement, mais aussi avec des hommes plus âgés. Un manoir appartenant à un marquis délicieusement pervers qui l’ouvrait aux étudiants amateurs de partouzes ainsi que d’autant de gays dans les trente à quarante ans, soigneusement choisis pour leur vitalité sexuelle, leur beauté corporelle, leur respect du (ou des) partenaire.

Axel avait été de ceux-là. Un amant chaud et doux avec les garçons les moins habitués, puissant et sans tabou avec ceux qui voulaient du plus hard.

« Axel… Le si bien nommé… A sa naissance ses parents se doutaient-ils qu’il aurait, adulte, un membre si beau, dur, endurant ? Un axe intransigeant pour toute bouche ou tout anus décidé à l’accueillir ! Waouh, qu’est-ce qu’il m’a mis ! Merde… Je rebande ! Et je mouille ! Me calmer ! »

Pour ne pas repenser à cette divine soirée, Justin laissa son esprit vagabonder dans ses souvenirs de jeunesse. Il s’y vautra avec délectation, conscient que cela ne calmerait pas son excitation. Mais alors qu’il allait retrouver l’Axe dont il était gravement en manque, il lui fallait se remémorer le cheminement qui l’avait conduit à offrir ses fesses à de beaux mecs.

Le handball. Le sport qu’il avait choisi, adolescent, pour ne pas faire comme tout le monde en jouant au foot. C’est là qu’il avait rencontré Fred et Gilles, pas plus doués que lui au départ, tout aussi primairement anti-foot. Une manière pour eux de s’affirmer en se différenciant.

Dès la première séance il dû faire preuve de courage pour aller prendre une douche, tout nu au milieu des équipiers nus. C’était la première fois qu’il exhibait son corps devant d’autres. Intimidé autant qu’excité, il lui avait fallu un trimestre à raison de deux entrainements par semaine pour ne plus y penser.

Il avait comme tous les garçons de son âge la solution pour évacuer le trop plein d’émotion : la masturbation. Il en était un adepte farouche, se branlant deux ou trois fois par jour, dont souvent une fois dans les toilettes du gymnase avant l’entrainement. Comme cela il ne prenait aucun risque.

Il réalisa au bout d’un ou deux ans qu’il n’était pas le seul à avoir choisi cette tactique. Fred, en particulier, faisait comme lui.

Ils s’en étaient mutuellement rendu compte. Un accord tacite issu d’une complicité amicale les retint du moindre commentaire. Justin se demandait juste si parfois Fred faisait comme lui à essayer, sans être toujours couronné de succès, souvent même aspergé de succès, d’éjaculer dans sa bouche affamée grande ouverte.

Justin n’était pas le plus doué, loin s’en faut. Il était le plus souvent remplaçant. Mais un remplaçant frais, bien que de moindre niveau, a toute sa place dans une équipe. Il était apprécié pour sa vision du jeu plus que pour sa maitrise du jeu. L’équipe n’imaginait pas jouer sans lui.

Avec les années le niveau des compétitions augmenta. Les déplacements du weekend se multiplièrent, qu’il gérait comme il pouvait maintenant qu’il était étudiant. Pour les matchs trop lointains, il partageait en général une chambre bon marché avec ses deux amis.

Dans ce type d’hôtel les douches sont communes. Le défilé joyeux et bruyant de l’équipe obligeait chacun à faire vite, souvent à ne pas fermer la porte. Aucun autre client ne venait se mélanger à eux !

Quand ils rentraient dans leur chambre ils enfilaient parfois un caleçon. Et puis, avec les beaux jours, Gilles décida de retirer la serviette qu’il avait autour des reins en rentrant de la salle de bain et de ne pas se rhabiller avant le lendemain. Seul à dormir nu au départ, Fred en fit rapidement de même après s’être assuré que ses amis ne seraient pas gênés s’il avait une érection incontrôlée.

Les garçons se charrièrent sur la taille de leur engin et leur obsession sexuelle supposée. Fred et Justin se regardèrent et se sourirent. Dans cette chambre commune il était difficile de se vider les couilles discrètement.

Dès le premier matin, Gilles, en bon camarade espiègle, mit en évidence la tâche sans équivoque sur le drap de Fred. Celui-ci, en regardant Justin, déclara que c’était d’une banalité affligeante. Justin ne put qu’approuver, de peur que l’autre révèle ses pignolades frénétiques dans les toilettes du gymnase.

Ainsi un accord fut scellé entre les trois jeunes hommes : chacun pouvait se masturber, discrètement, les autres n’y trouveraient rien à redire.

Justin fit des recherches assez poussées sur la différence de performance entre sportif ayant droit à une vie sexuelle, et ceux que le staff privait de tout rapport. Ils en parlèrent plusieurs fois, riant comme des dératés, laissant leur verge gonfler sans chercher à se cacher.

C’est sous les quolibets des deux autres, excités à moitié, que Justin se décida à retirer son caleçon dont la bosse parlait d’elle-même. Nus tous les trois, une jolie mi-molle entre les cuisses, ils convinrent qu’ils n’avaient rien à envier les uns des autres. Ils étaient juste heureux d’être nus ensemble.

Le lendemain matin chacun observa avec amusement la tâche sur le drap des deux autres. Handballeurs sûrement, mais aussi branleurs ! Ce qui les lia plus encore. D’autant qu’ils gagnèrent haut la main, avec Justin présent et efficace sur toute une mi-temps.

Tout dérapa lors du déplacement suivant. Ils se retrouvèrent immédiatement nus dans leur chambre à l’issue de la douche. Les verges réjouies de la chaleur de l’eau se laissèrent aller. D’autant que les trois se chamaillèrent, aucun ne voulant grimper sur le lit du haut.

La lutte fut implacable et délicieusement charnelle. Les érections grandirent. Au point de devenir, si ce n’est gênant, douloureux dans les coups malheureux. Fred mit un terme au pugilat et proposa qu’ils visionnent un film. Les deux autres acquiescèrent. Les mains s’emparèrent de leur sexe pour lui faire du bien.

Particulièrement excités, ils s’allongèrent cuisse contre cuisse sur le grand lit, sexe largement déployé.

Ce que Justin n’avait pas anticipé c’est que Fred lança un film porno. Il avait imaginé un film d’aventure. Il eut droit à un film de cul. Une grande partouze à une douzaines d’acteurs garçons et filles. Les sexes durcirent immédiatement. Les supplications de Justin pour passer autre chose restèrent lettre morte : il était coincé entre ses deux camarades qui le maintenaient couché.

Justin ne comprit pas tout de suite quand Fred leur suggéra de commencer à se masturber. Les filles suçaient les garçons qui dévoraient le minou des filles. Les coïts démarrèrent. Fred et Gilles s’astiquaient doucement. Justin tenta de résister.

C’est quand une bouche de garçon avala un phallus que sa main se mit en action. Peu à peu les positions des acteurs évoluèrent, bien répartis, entre les garçons entre eux, les filles entre elles, et quand même deux couples hétéros dont le manque de sensualité ne donnait pas envie.

La caméra passait des uns aux autres. Gilles se mit à commenter. Uniquement le talent masculin. Plus particulièrement les coïts entre garçons. Fred rigolait. Justin tentait désespérément de se retenir. Ce fut pourtant lui qui éjacula en premier, aspergeant au passage Gilles de quelques gouttes de sperme, déclenchant l’orgasme des deux autres.

Honteux, Justin espérait que Fred éteindrait l’écran. Il n’en fit rien, au contraire, prenant le temps, comme Gilles, de récolter son miel pour le porter en bouche. Les deux gourmands s’étonnèrent que Justin n’en fasse pas de même. La partouze devenait dantesque sur l’écran. Devant leur insistance il dû reconnaitre qu’il faisait bien la même chose après avoir joui. Les deux autres exprimèrent bruyamment leur satisfaction d’avoir un pote normal. Tellement bruyamment que des coups retentirent contre la cloison mitoyenne.

Si Fred et Gilles se bidonnèrent, Justin était tétanisé à l’idée que les voisins puissent avoir compris leur occupation du moment.

Lors du déplacement suivant la pignolade de groupe démarra très naturellement, Justin ayant rangé ses atermoiements derrière son excitation.

Il ne réalisa même pas que le trio d’acteurs pornos qui s’envoyaient en l’air était exclusivement masculin. Il ne réalisa pas plus, grand naïf, qu’ils étaient trois garçons nus et en érection face à l’écran qui faisait défiler les images de trois garçons nus, en érection et plein de fougue charnelle. Le message n’était pas parvenu à son cerveau.

Comme la fois précédente ils dormirent tous les trois, nus et soulagés, dans le grand lit. A la différence que, si la première fois Justin était au milieu des deux autres, ils l’avaient maintenant laissé sur un bord.

Sentir la chaleur de ses amis, le contact de leur peau contre la sienne, leurs fesses, leur sexe, avait profondément réjoui Justin dont l’orientation sexuelle commençait à s’affirmer. Si la première fois ils s’étaient à nouveau masturbé au petit matin, sans film pour ajouter à leur excitation, Justin fut le seul à jouir à côté des deux autres. D’un sommeil profond il n’avait pas ressenti les mouvements lascifs de leurs corps enlacés… Il était tellement fier du regard de ses amis sur sa pignolade ! Puis d’être le seul à avoir la main et le pubis nappé de bon sperme !

Il se lécha les doigts sans se soucier des quolibets des deux autres.

Le jour arriva où, au milieu d’une masturbation commune devant un porno gay, la main de Fred s’empara du sexe de Gilles et celle de Gilles du sexe de Fred. Justin n’en fut ni surpris, ni offusqué.

Il refusa la main de Gilles sur son propre sexe. Il refusa la proposition de Fred de lui laisser le sexe de Gilles à branler. Mais il s’astiqua en regardant ses deux amis se donner du plaisir masturbatoire en s’enlaçant et en se caressant tendrement. Il sourit même quand les deux autres s’embrassèrent, délicatement d’abord, avant de se rouler des pelles.

Il applaudit quand chacun fit jouir l’autre dans une belle synchronisation. Excité, il approcha son sexe des deux ventres recouverts de sperme pour se finir et aller compléter la moisson mâle.

Il avait visé le visage. Il les laissa s’embrasser savoureusement, portant ses doigts trempés à sa bouche pour imaginer ce qu’ils ressentaient.

Depuis qu’ils se donnaient du plaisir ensemble ils se nettoyaient la peau en récoltant leur nectar. Cette fois Justin participa au nettoyage des deux ventres en dégustant son sperme mélangé à celui des autres. Ils s’en amusèrent follement, se caressant doucement les fesses en moissonnant. Justin accepta que les siennes soient pelotées, mais refusa ses lèvres.

Peu de temps après, Gilles, exceptionnellement sérieux, demanda à Justin si cela ne le gênait pas trop que Fred et lui se donnent du plaisir ensemble. Il proposa de faire cela hors de sa présence pour ne pas le mettre mal à l’aise. Justin le prit mal. La conversation s’envenima et les deux amis se quittèrent fâchés.

Le lendemain Fred alla trouver Justin en émissaire et pour savoir ce qui n’allait pas. Cela faisait quelques années déjà qu’ils avaient commencé à se masturber au même moment, chacun dans une cabine des toilettes. Quelques mois qu’ils se voyaient nus et en érection. De délicieuses semaines qu’ils se masturbaient ensemble. Justin ne pouvait rien cacher à son ami. Il lui avoua qu’il n’avait pas dormi de la nuit à l’idée de ne plus participer à leurs agapes mâles, ne plus être nu et en érection au milieu d’eux, ne plus les voir se masturber, ne plus sentir leur chair quand ses mains se baladaient, ne plus inspirer à plein poumons le parfum de leurs débordements séminaux.

Fred lui assura qu’ils n’avaient pas l’intention d’exclure Justin de leurs jeux de garçons coquins. Mais qu’ils désiraient aller de plus en plus loin ensemble, et qu’ils ne voulaient pas l’effrayer, lui qui ne ressentait pas la même chose devant un corps de garçon.

Justin le rassura. Il lui affirma qu’ils pouvaient se sucer et s’enculer devant lui que cela ne changerait rien à son amitié profonde pour eux. Que si sa présence ne les dérangeait pas, il souhaitait ardemment assister à leurs agapes mâles.

Fred acquiesça. Tout rentra dans l’ordre. Ils se retrouvèrent chez Gilles peu après. Vite nus, ils se masturbèrent tranquillement en buvant des bières. Fred et Gilles s’occupaient mutuellement du corps de l’autre, assis côte à côte ou bien enlacés l’un derrière l’autre. Ils relevèrent et gagnèrent le défi de jouir simultanément. Ils avaient tiré à la courte paille qui serait le récipiendaire : ce fut Fred qui reçut avec joie leurs trois semences avant de les partager en bouche goulument, tous trois enlacés. Sans s’en rendre compte il avait enfin accepté l’idée d’embrasser un garçon. Deux garçons même, aux lèvres souvent recouvertes du sperme de l’un ou de l’autre.

Dans les semaines qui suivirent ils partagèrent souvent le même jeu. Justin fut plusieurs fois aspergé, en particulier le soir où, n’ayant pas réussi à se retenir, il avait joui en premier et avait accompagné l’orgasme de ses amis en leur caressant d’abord les cuisses, puis les fesses.

Pour le remercier de sa délicate attention, les deux autres léchèrent le sperme qui avait maculé son ventre et son menton. Evidemment les deux coquins s’embrassaient pour partager joyeusement l’offrande de leur plaisir. Peu à peu la bouche de Justin s’ouvrit, sa langue sortit, et il accepta en grognant le contact de celle de Gilles qui déposa la semence commune en l’embrassant.

Ils passèrent un long moment à s’embrasser les uns les autres, par moment à trois bouches, s’amusant comme des petits fous. Les mains parcouraient les corps. Et quand des doigts se refermèrent sur la verge de Justin, il ne s’offusqua pas. Pas plus quand ses couilles furent massées sensuellement. Comment résister à ces tendresses épidermiques quand une langue fourrage votre bouche ?

La soirée s’enfonça dans la nuit alors que le corps de Justin était tripoté dans ses moindres interstices et que ses mains découvraient chaque courbe et chaque creux des deux autres. Follement excités, ils s’éjaculèrent dessus une nouvelle fois, sans plus chercher à contrôler quoi que ce soit.

Justin, pris de passion séminale, alla lécher le pubis de Fred, puis descendit en évitant soigneusement son sexe pour glisser jusqu’à ses bourses où Gilles avait déposé des perles délicieuses, avant de se reprendre, embarrassé par son audace linguale.

Après s’être caressé intimement, léchés et embrassés, Justin fut presque soulagé de voir Fred engloutir le sexe de Gilles dans sa bouche. Il les regarda se sucer, admirant l’expression des visages en pleine fellation, le donneur et le receveur exaltant d’un même plaisir. En particulier après une belle éjac quand l’un nettoyait joyeusement le sexe gluant de l’autre.

Il bandait comme un âne tout près de leur visage, mais ils ne le sucèrent pas. L’orgasme libérateur le fit crier de plaisir. Ils s’astiquèrent une seconde fois, ne pouvant plus se contenter d’une seule jouissance.

C’est le lendemain que Gilles, devant Fred, fit remarquer à Justin que cela faisait des semaines qu’ils se masturbaient ensemble sans faire défiler de film porno. Justin blêmit. Davantage encore quand Gilles affirma que, puisque ce n’était pas les images virtuelles qui très classiquement l’excitait, mais bien la présence physique et charnelle de ses deux amis garçons, c’est qu’il était forcément aussi pédé qu’eux.

Justin nia lâchement. Fred en mit une couche en confirmant que les hétéros ne se branlent pas mutuellement, qu’ils ne jouissent pas les uns sur les autres, qu’ils ne caressent pas le cul, les couilles et la verge de leurs potes. Et qu’ils ne sucent pas.

Immédiatement Gilles embraya en demandant de manière directe s’il avait envie de se faire sucer par eux deux. Justin balbutia un « oui » que ses amis lui demandèrent de prononcer avec plus de conviction. Alors Justin, soudain bravache, leur révéla que, oui, il rêvait de se faire sucer comme il les voyait se sucer devant lui.

Il perdit toute contenance quand Fred déclara qu’ils le feraient avec un immense plaisir mais seulement s’il les suçait d’abord.

Devant leur insistance Justin tourna lâchement les talons.

Il bouda trois jours avant de revenir vers eux, penaud. Il reconnut qu’il n’en pouvait plus, qu’il avait physiquement besoin de leurs soirées de plaisir charnel. Il leur demanda d’une voix sourde si, dans l’hypothèse où il n’aimerait pas cela ou n’arriverait pas à les sucer, ils le suceraient quand même. Devant l’inquiétude qui se lisait dans ses yeux injectés de sang, les deux amis confirmèrent que bien sûr, quoi qu’il arrive, ils le suceraient le soir même, le feraient jouir en bouche et partageraient dans des baisers savoureux tout son bon sperme.

Justin adora cela. Il prit un pied fou à déguster un gland puis l’autre, puis à pomper un dard puis l’autre. Il y mettait tant de fougue que ses amis eurent du mal à endurer la touchante gâterie de leur ami qui, ils en étaient certains, en rêvait depuis des mois sans oser franchir le pas. Ils étaient heureux de l’avoir convaincu de le faire. Ils étaient fier du néo-pompeur.

Ce sont ses amis qui jouirent en premier dans sa bouche, successivement. Justin en voulait encore. Il était insatiable !

Même après avoir déchargé dans la bouche de Gilles dans un orgasme retentissant.

De pignolades partagées, leurs soirées se transformèrent en fellations triangulaires entre deux pelotages de chair et autres baisers appuyés.

Très vite Justin fut moqué par les deux autres pour sa gourmandise fellatoire bien plus forte que la leur. Le novice s’en moquait, tant qu’il y avait de la queue à sucer. Au point qu’il fut fou de joie de trouver, un soir chez Fred, deux autres étudiants nus qui avaient déjà commencé à s’amuser. Il suça les quatre phallus en les faisant décharger en bouche, recevant les compliments des sucés pour son art fellatoire affirmé.

C’est ainsi qu’il commença à sucer des garçons individuellement dans les coins sombres de l’université. Tous les homos du campus se passèrent le mot et lui offrirent leur sexe à dévorer. Parfois en gang-bang pour le plus grand plaisir de tous.

Echange mutuellement satisfaisant que Justin terminait parfois en se masturbant sans complexe devant celui qu’il venait de faire jouir en bouche.

Il ne fut pas surpris d’apprendre que ses amis se sodomisaient régulièrement depuis quelques mois. Il leur demanda de le faire devant lui, follement excité de voir le sexe de Fred ramoner le cul de Gilles en caressant les fessiers et les flancs. Il ne tarda pas à aller se glisser sous ou sur l’enculé pour le sucer, parfois en se faisant lui-même sucer, et maintenir l’érection du passif tandis qu’il se faisait besogner.

Alors, forcément, au milieu d’une soirée étudiante où plusieurs garçons furent sodomisés devant lui, il demanda à Fred de le déflorer.

Ce fut un échec, son petit cul serré non préparé refusant viscéralement d’accueillir la belle queue de son ami.

Il fut délicieusement réconforté par ses camarades de jeu qui, tous, lui dirent qu’avant de pouvoir se faire mettre ils avaient dû être préparé soigneusement. Et que les premières fois n’avaient pas été si faciles et agréables que ce qu’il pouvait voir entre homos expérimentés.

Fred et Gilles s’occupèrent dès lors de le préparer. Il reçut, et offrit, de longs anulingus.

Il se fit doigter tout en doigtant un des deux. Un doigt, puis deux.

Il se fit goder, par des jouets étroits d’abord, plus larges ensuite, tout en godant l’autre.

Et un jour il eut la révélation anale quand Gilles s’enfonça entièrement en lui. Il avait pris son temps, en cuillère, pour le pénétrer très progressivement. Cela avait été délicieux !

Quelques jours plus tard ce fut au tour de Fred sur lequel il s’empala. Puis il commença à se faire butiner le cul en couinant, restant encore serré, sans doute car il avait trop d’attente envers ses enculades.

Curieusement il mit presque un mois en position passive avant d’exprimer le désir de sodomiser l’un ou l’autre de ses amis. Il trouva sans difficulté et le chemin, et le mode d’emploi, réjouissant ses amis au plus haut point.

Ils allèrent une première fois au manoir pour une soirée très virile entre gays. Si les deux autres s’amusèrent follement en s’adonnant sans retenue aux plaisirs grecs, Justin fut plus réservé. La vision de tous ces mâles en rut l’inquiétait autant qu’elle l’excitait. Il avait envie de sucer chacun des participants, de sodomiser les plus athlétiques, mais craignait de devenir le centre d’un gang-bang anal. Cela ne l’empêcha pas de faire connaissance avec plusieurs beaux garçons.

Lors de sa deuxième soirée, nettement plus libéré car en terrain connu, il se donna plus à fond et rencontra celui qui le fit profondément vibrer : Axel.

à suivre...