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Men's manor 3

Après une pause toilette j’entrepris de monter les escaliers. Devant moi trois jeunes nus grimpaient joyeusement en se provoquant. Leurs petits culs si ronds et si lisses étaient une merveille qui aimanta mon regard et me fit durcir à nouveau. Ils le virent et éclatèrent de rire, remuant leur fessier pour me provoquer. Les sexes gonflés étaient un appel au crime autant que leurs grosses couilles qui ballottaient avantageusement.

L’étage était dédié aux ébats plus sensuels et plus intimes dans des chambres aux portes ouvertes. Je remarquai des cales qui les maintenaient ainsi pour le bonheur visuel des voyeurs dont je faisais partie. D’éclairage plus ou moins tamisé, les chambres étaient composées d’un très grand lit chacune, de serviettes mais surtout d’étuis de préservatifs en abondance.

Dans l’entrebâillement des portes je regardai quelques couples lutiner suavement. Des mains d’autres voyeurs se posèrent sur mes fesses ou caressèrent mon sexe tendu. Un gars moustachu me proposa de rejoindre un couple se sodomisant en missionnaire, me laissant le choix de la position.

Pas de chance pour lui, je n’aime pas sentir les moustaches quand j’embrasse un gars. Surtout quand il tente d’enfoncer un doigt dans mon anus sans grand préliminaire. Je refusai son avance. Il fila tenter sa chance avec un autre.

Tout autour de moi, que ce soit dans les chambres ou dans les circulations, il n’y avait que des hommes entièrement nus. Des trentenaires ou quadragénaires, peu de minets. Apparemment les jeunes folâtraient ensemble et ne trainaient pas au milieu de tous nos sexes bandés. Prudent et réaliste…

 

Finalement je me décidai à entrer dans une chambre, rejoignant ainsi un couple de minets déjà nus et s’adonnant à une fellation mutuelle. Je caressai les fesses musclées de celui du dessus qui en grogna de joie et écarta davantage ses jambes. C’était bien sûr pour assurer mieux sa position, pas pour que je joue avec sa raie bien ouverte au centre de laquelle un bel anus rosé trônait en majesté.

Je continuai à le peloter et à parcourir sa raie avec un doigt, m’arrêtant sur son anus, m’amusant de le sentir pousser mon bassin vers le haut pour se faire pénétrer. Je le laissai néanmoins prendre toutes les initiatives.

J’en étais là depuis quelques instants lorsque je sentis un garçon se coller dans mon dos, écraser son sexe bandé contre ma raie, s’emparer de mes tétons pour les travailler. Des lèvres embrassèrent agréablement mon cou, déclenchant des vagues de frissons. Mon doigt s’enfonça à moitié dans l’anus du minet quand il me mordit le cou avec ses lèvres.

Le minet apprécia et, en deux mouvements, éleva suffisamment son fessier pour que mon doigt soit entièrement en lui. J’entamai un massage intérieur tout en attrapant le cou de celui qui jouait avec mon corps. Un visage aux cheveux mi-longs apparut. Nous nous embrassâmes. Il passa une main entre son ventre et mes fesses. Un doigt timide demanda l’autorisation de passage. J’écartais mes fesses et le laissai me doigter. Sa main libre s’empara de ma queue et me branla doucement sans que nos lèvres ne s’éloignent trop les unes des autres.

– Viens jouer avec nous ! susurra-t-il.

Invitation acceptée. Les deux autres firent de la place. Il se coucha sur le lit et commença à me sucer avec gourmandise.

Men's manor 3

Je lui offris sans sourciller mon sexe, d’autant plus qu’il suçait très bien. A côté de nous les deux jeunots étaient plus timides, se léchant et se suçant juste le gland bien baveux.

Quand celui qui m’avait choisi se coucha de dos sur le lit, un des autres minets se coucha à moitié sur lui pour venir lécher le haut de sa hampe. Je m’occupai d’abord de lécher ses boules bien remontées, mais, voyant le quatrième larron lécher le cul du suceur de gland, ma langue s’abaissa peu à peu. Les cuisses s’ouvrir en grand, le bassin s’éleva légèrement, guidant ma langue vers son anus.

Men's manor 3

J’avais vaguement craint de n’avoir affaire qu’à des suceurs de queue, je fus soulagé de constater qu’ils aimaient aussi lécher les anus !

Men's manor 3

Les minets avaient non seulement la langue bien pendue, ils ouvraient aussi leur beau fessier avec envie. Après s’être mutuellement sucés, ils se léchèrent l’anus et se doigtèrent les uns après les autres.

Me concernant, ils se contentèrent de me sucer. Le message était clair, j’étais l’étalon choisi pour butiner leur petit cul. Le mien ne les intéressait pas.

Enfin un des garçons se coucha devant moi, écarta ses jambes, en releva une qu’il vint poser sur mon épaule qui s’approchait. Je pointai mon sexe vers son anus. Il murmura d’un souffle court son besoin de se faire prendre.

Un autre minet s’était placé en levrette. Son pote n’hésita pas à viser la lune, à attraper ses hanches, et à attirer le bassin contre son ventre.

Men's manor 3

Je m’enfonçai très progressivement dans le conduit du garçon qui soufflait comme un bœuf pour chasser la douleur et laisser la chaleur envahir son corps. Il débanda complètement mais agita son bassin pour attirer mon sexe plus profondément en lui. Je ne cessai de l’interroger du regard. Sans cesse il exprimait sa volonté de se faire entièrement prendre. J’étais en train d’enculer un petit pédé peu expérimenté mais qui savait parfaitement ce qu’il voulait !

Les deux autres étaient plus actifs que nous. La pénétration fut bien plus rapide, les coups de boutoir rapidement énergiques. Le petit passif savait encaisser !

Il aida son camarade enculé en lui roulant des pelles suaves. J’étais maintenant presque complètement en lui. Il soufflait de plus en plus fort mais m’interdit de sortir de son petit cul délicieusement serré. Un régal !

Pourtant, après dix bonnes minutes, son conduit n’était pas encore suffisamment détendu pour qu’il apprécie à juste valeur mon enculade. L’autre enculé fit remarquer qu’il était le seul à ne pas bander et que ce n’était pas acceptable. Il me demanda de stopper ma sodomie pour qu’il puisse faire durcir son pote.

Je sortis d’entre les fesses du novice qui me remercia en m’embrassant avant de présenter son pénis à la bouche de son ami toujours possédé. L’enculeur me demanda de m’approcher pour, alors que je flattai sa croupe resplendissante de ses muscles fessiers se contractant et se décontractant, me demander de le prendre.

Les deux autres rigolèrent en le traitant de saucisse de hot-dog. Alors que mon passif commençait vraiment à rebander, je me plaçai dans le dos de l’actif et le pénétrai à mon tour en attrapant sa crinière.

Men's manor 3

Il accueillit mon intromission en gémissant, mais sans sortir du fion de son pote passif. Une fois entièrement en lui je commençai à balancer mon bassin. Spontanément nos va et vient s’harmonisèrent : le garçon avait autant l’habitude d’être pris que de prendre. Sans doute aimait-il se retrouver entre deux mâles ! Nos sexes bien lubrifiés coulissaient jouissivement, nos bassins bien en rythme. Parfois je donnais des coups de boutoir plus fermes qui se répercutaient dans le cul de l’autre. Malgré son évidente habitude à se faire posséder, ce nouveau petit cul serré était un véritable régal lui aussi !

Men's manor 3

Le novice était maintenant autant en rut que nous. Nous nous sourîmes tous, heureux de cette symphonie anale bien orchestrée qui réjouissait tous nos sens. Queuter le minet, caresser sa peau, ses hanches, ses épaules était délicieusement frais et sensuel. Voir avec quel enthousiasme les deux enculés se faisaient mettre me rappelait ma jeunesse quand la souplesse de mon anatomie me faisait tout accepter, tout rechercher des plaisirs masculins.

C’est pourtant le novice qui y mit un terme en demandant au suceur de le prendre. L’autre accepta, faisant remarquer que sa queue était légèrement plus fine que la mienne et que cela devrait le réjouir.

Le novice se mit en levrette. Mon enculé-enculeur m’entraina de l’autre côté du lit pour se coucher sur le dos et me rouvrir ses fesses.

Je compris alors qu’ils avaient une certaine habitude du sexe en groupe puisque mon passif décréta que comme toujours les deux actifs devaient s’enfoncer à la même cadence dans les deux petits culs puis besogner au même rythme. Une approbation générale s’exprima. Et je me mis à surveiller la pénétration du novice pour adapter la mienne.

Men's manor 3

Si nous nous étions retrouvés ensemble à emmancher jusqu’à la garde le cul de notre passif, rapidement je dus accélérer la cadence tant l’appétit anal de mon minet était fort. L’autre y alla plus doucement, même si, enfin, il pistonna franchement le novice.

Mon enculé gémissait d’une voix rauque qu’il voulait que j’aille toujours plus fort. Le nouvel enculé gémissait d’une voix plus aigüe que c’était diablement bon et qu’il en voulait encore. Ils râlaient tellement fort que plusieurs gars vinrent admirer notre copulation commune.

Un quadra exprima sa jalousie à mon égard : il aurait adoré se faire un petit minet. Je répliquai qu’ils m’avaient ouvert leur cul parce que je le valais bien. Mon enculé confirma que j’étais l’or du mâle, un mâle en or. Jeu de mot vaseux qui nous fit néanmoins rigoler.

Deux quadras s’enculèrent sauvagement devant nous, appuyés contre la cloison, changeant de rôle fréquemment tellement ils envoyaient. Je finis par leur demander d’aller ailleurs, constatant que cela ennuyait plus mes minets que cela ne les excitait. Mais à notre tour nous étions une attraction pour de nombreux voyeurs qui vinrent, réjouis, nous reluquer. Je ne suis pas spécialement exhibitionniste. Mais je dois reconnaitre que, dans le contexte, cela m’excitait.

C’est le novice qui interrompit une puissante rafale qu’il recevait mais qui n’était rien au regard du bombardement anal que j’envoyais dans le cul de mon jeunot. Il se jeta en avant pour s’extirper de la queue de son pote et me demanda, dans une sorte de supplique salace, de le reprendre pour le faire jouir.

– Tu es sûr que tu veux à nouveau ma queue ?

– Oui ! J’en veux une plus grosse !

– Elle ne l’est pas beaucoup plus.

– Oui, mais je veux me faire mettre par un vieux !

– Sympa le « vieux » ! Mon chou, demandai-je à mon enculé, tu veux bien céder ta place ?

– Si je te dis que j’en ai plein le cul… Je crois que j’ai ma dose ! D’accord, Stéph prends ma place. Mais allez-y tranquilles les garçons ! Il a moins l’habitude que moi !

– J’avais compris, gars ! répondis-je en l’embrassant longuement avant de déculer.

Alors que les garçons rampèrent sur le lit pour changer d’enculeur en se passant sur le corps pour se caresser et s’embrasser, je remis une bonne couche de lubrifiant sur mon sexe.

Je laissai au minet le choix de la position. Il choisit de se mettre sur le dos et éleva ses jambes qu’il reposa sur mes épaules. J’approchai d’abord mon visage du sien en quête d’un baiser. Il sourit et acquiesça, soulignant par là que je le méritais. Nous nous roulâmes une longue pelle tandis que la copulation des deux autres reprit immédiatement.

Quand nos bouches se séparèrent enfin, mon minet s’aperçut que j’étais entièrement enfoncé dans son fondement. Tout à son plaisir lingual il n’avait pas senti ma queue revenir en catimini dans son conduit bien détendu. Il en fut surpris et s’en réjouit. Ainsi une pénétration anale pouvait être délicate et agréable ! Une révélation pour lui.

Par contraste avec l’énergique sauvagerie des deux autres, nous décidâmes sans nous concerter d’une sodomie tout en souplesse et en grâce. Je le queutai de la manière la plus élégante possible, encouragé par notre publique d’excités qui incitait les autres à plus de défonce, et nous à plus d’allonge. Je sortais presqu’entièrement de son petit cul avant de m’y réenfoncer, parfois lentement, parfois d’un coup, souvent en variant les angles pour varier les sensations reçues. Le garçon adora. Notre public aussi qui vit les deux autres jouir en premier, simultanément. L’enculé asperger abondamment le drap tandis que l’enculeur déversa toute sa puissance vitale dans le joli cul rougi. Le sexe de l’enculeur n’était pas un bouchon suffisamment hermétique. Je ne voyais rien, mais plusieurs gars, tous des jeunots, s’approchèrent pour admirer le sperme couler hors des fesses de l’enculé.

Mon minet tendit le bras pour toucher la queue moite de son pote, récolter du sperme et le porter en bouche. Il était tellement gourmand qu’il tenta d’essuyer le drap avec ses doigts, les passant sporadiquement sur ses lèvres et son visage, les renvoyant récolter le nectar.

Fut-ce le parfum ou la saveur du sperme ? Je sentis qu’il allait jouir. Il tenta de se masturber pour se finir. Je chassai sa main sans déculer et me mis à le branler moi-même. Son regard rayonnait de reconnaissance. Une bonne queue dans le cul, un gentil garçon le masturbant, et, comble de bonheur, l’autre enculé qui vint se placer au-dessus de lui pour lui offrir son sexe dégorgé de sperme à nettoyer en bouche.

Son éjaculation fut une merveille qui déclencha des applaudissements fournis de notre public. Son sperme retomba sur son pubis glabre et sur l’épaule de son pote.

Je sortis doucement de lui, admirai la belle circonférence de son anus grand ouvert, pétris son beau petit cul tout chaud et moelleux. Mon regard tomba sur le sperme qui glissai dangereusement de l’épaule du pote. Je ne pouvais pas laisser gâcher un aussi bon nectar !

Je me penchai et léchai l’épaule en grognant, récoltant une subtile semence légèrement sucrée.

Penché en avant, mon fessier attira un gars qui se plaça dans mon dos, ajusta son sexe contre mon anus et me proposa un moment de bonheur anal. Je refusai, ayant comme unique besoin de jouir à mon tour. Cela faisait la deuxième fois que j’enculais un garçon ce soir, sans jouir. Cela faisait beaucoup.

C’est à croire que les deux enculés lisaient dans mes pensées. Mon minet écarta l’autre et se jeta dans mes bras pour m’embrasser en me remerciant. Puis, rapidement, il dit :

– Tu ne veux pas enculer Fred ? On s’est tout les deux divinement fait mettre, mais lui aussi il aime cela, tu sais ?

Je regardai l’autre actif. La lumière dans ses yeux parlait pour lui. Je tendis mon index vers lui pour le désigner, puis l’agitai pour lui intimer l’ordre de me rejoindre. Il poussa un petit grognement de joie et vint faire le tour du lit pour se placer en levrette devant moi après m’avoir tendu le flacon de lubrifiant.

Mon enculé resta sur le dos au milieu du lit. Les deux autres se mirent à l’embrasser et à le lécher, récoltant à leur tour leu récompense séminale.

Je pris soin de doigter le dernier des minets que je n’avais pas encore enculé, lubrifiant ainsi consciencieusement son conduit qui me sembla bien souple. Quand il se sentit prêt il se retourna, m’embrassa, et me demanda de l’ensemencer.

Je n’avais pas l’intention de m’en passer !

Je le pris en douceur, m’enfonçant délicatement jusqu’au fond. C’est le balancement de son superbe petit cul qui donna le signal de l’enculade. Je tentai de le prendre progressivement, tranquillement. Mais, outre qu’il venait de jouir et avait ainsi une endurance réduite, cela faisait pour ma part un long moment que je queutais. Je ne résistai pas plus de cinq minutes d’une ultime sodomie qui me fit crier de plaisir au moment de l’éjaculation.
J’eus l’impression de déverser un flot gigantesque de sperme en lui. En tous cas la pression fut si forte que j’imaginai que mes millions de spermatozoïdes allèrent loin dans son fondement, explorant ce conduit merveilleux à besogner.

Mon enculé s’écroula sur le corps de mes deux autres enculés. Ce n’est qu’en voyant leurs corps emmêlés que je réalisai que je les avais tous les trois sodomisés. Pris dans le jeu orgiaque, je n’avais pas prémédité cela. Je regardai leur peau détrempée de sueur : ils étaient tous les trois aussi appétissants ! Une vague de reconnaissance m’envahit : ils m’avaient invité à participer à leur jeu. Pourquoi moi plutôt qu’un autre ?

Ils se roulèrent une triple pelle, sans se soucier de moi. Normal.

Je n’étais qu’un faire-valoir ou plutôt un faire-jouir. Je ne faisais pas partie de leur bande de jeunes pédés débridés. Cela ne m’empêcha pas de rester, ce coup-là, le plus longtemps possible dans le cul du minet.

Mais la chair est faible. A force de ramollir malgré mes efforts pour bander encore, ma verge sortit d’un coup du petit cul. Mon sperme se mit à couler sur ses cuisses ce qui déclencha quelques exclamations amusées du public.

Les deux premiers enculés se dressèrent comme un seul homme pour aller voir cela. Ils se moquèrent allègrement de l’anus largement ouvert et surtout du filet séminal qui s’en échappait. Ils fessèrent leur pote, étalèrent du sperme sur sa peau, pétrirent sa chair. L’autre rouspétait, mais ne bougeait pas d’un iota, trop heureux d’exhiber sa performance anale.

La chambre commença à se vider. Seul restait un métis très bien fait qui se tripotait en souriant tout en nous regardant. Nos regards se croisèrent. Nous nous comprîmes : nous étions maintenant de trop. Le trio se reformait, nous excluant de fait ; moi le premier.

J’essuyai mon sexe qui maintenant pendait, amolli et joliment courbé. Je pelotai les trois petits culs et caressai les chairs douces. Mais au moment où je tournai les talons, le novice se redressa et se jeta dans mes bras pour m’embrasser encore en me remerciant. Les deux autres nous entourèrent et caressèrent ma peau quand ils ne claquaient pas mes fesses.

Nous nous léchâmes les lèvres, nous nous embrassâmes, à deux bouches, à trois bouches, plus approximativement à quatre bouches. Notre maladresse buccale nous fit rire même si nous essayâmes plusieurs fois le quadruple baiser. Cela ressemblait plus à des léchouilles de langues et de lèvres qu’à un vrai baiser, mais c’était agréable et amusant.

Je mis un terme à ces douceurs en pinçant leurs fesses de plus en plus fort, au point d’y laisser des traces rouges. Ils m’abandonnèrent en se jetant sur le lit pour s’amuser encore entre eux.

Je sortis de la pièce, le métis dans mon dos, qui profita du ralentissement en pénétrant le couloir pour attraper une de mes fesses.

Je m’arrêtai, le laissant me peloter, avant de tourner la tête et de l’embrasser. Je savais ce qu’il voulait. Je me rendis à l’évidence : je le voulais aussi.

– Tu n’as pas envie d’en prendre une à ton tour ? dit-il.

– Pas une. La tienne. Elle me semble parfaite pour mon irritation anale !

– Excellente nouvelle !

– Mais je dois d’abord faire une pause. Je te retrouve où ?

– Ne t’inquiète pas, je ne quitte pas ton beau cul du regard ! Je te retrouverai.

à suivre...

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