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Men's manor 2

En repassant dans le hall maintenant engorgé de gars bien gais, je réalisai que plusieurs participants étaient venus se servir un verre ou bien avaler un morceau sans se soucier de la fornication des quatre jeunes. Comme si s’enculer devant un buffet lors d’une soirée était chose normale. Ou du moins habituelle.

Je me dis que si c’était pour tous les hommes présents chose banale, cela devait chauffer sévèrement ailleurs.

Dans le grand hall des couples s’étaient formés. Certains électrons libres papillonnaient en allant de l’un à l’autre. Tout comme eux j’observai, je scrutai, j’analysai les regards, la gestuelle, le volume de chaque entrejambe encore caché sous les textiles. Le marquis avait du goût : il n’y avait que des garçons physiquement bien faits.

Un garçon efféminé d’une trentaine d’année vint se frotter contre ma cuisse. Il avait pris un air tellement innocent que j’éclatai de rire. Sa main vint aussitôt se poser sur la bosse bien visible qui mettait en valeur mon entrejambe. Un grognement aigu sortit de sa gorge pour marquer sa satisfaction.

J’attrapai son menton et lui roulai une pelle. Il apprécia, roucoula plus encore et m’entraina dans le salon opposé à celui du buffet. Le spectacle y était splendide : huit gars nus en belle forme étaient en train de se sucer. Des minets étudiants et des trentenaires mélangés.

Men's manor 2

Cela devait déjà faire un moment qu’ils avaient commencé car certains, sans doute les plus impatients, s’attaquaient à des anulingus frénétiques. Les fesses étaient écartées sans ménagement. Les langues parcouraient les sillons. Les anus frémissaient de désir refoulé.

Le minet qui m’avait entrainé là me demanda si je voulais participer. Je n’eus pas le loisir de répondre, éclatant de rire en voyant deux gars hurler de joie en se déshabillant à toute vitesse pour aller se jeter dans la mêlée et jouer avec les autres. Le minet se mit à dodeliner du bassin.

– Tu es en manque de queue ? lui demandai-je.

– Oh que oui ! j’en ai besoin d’une au fond de ma gorge et d’une autre dans mon petit cul en manque !

– Pour l’instant cela se contente de sucer… remarquai-je en regardant les corps de plus en plus fébriles.

Men's manor 2

– Tu ne veux pas que je te déshabille pour rejoindre les quatre là-bas et que je te suce avec eux ?

– Tu es bien impatient jeune homme ! Tu ne veux pas simplement profiter du spectacle ? La soirée promet d’être longue !

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– Je suis très endurant, tu sais ! Je peux m’en prendre un bon paquet successivement ! Mais… Parlant de paquet… Je peux déballer ta marchandise et palper le beau paquet que je devine dans ton futal ?

– Non mon grand. Pas encore. Regarde les deux à l’autre coin : queue à l’air à se branler mutuellement, c’est du gâchis !

– Je ne trouve pas… Même si je préfèrerais te sucer !

– Et me rouler une pelle ? Comme les autre là-bas ?

Men's manor 2

Il ne se le fit pas répéter deux fois. Le garçon savait embrasser, avec une lascivité et une profondeur simultanées surprenantes. Je guidai néanmoins sa main dans mon pantalon pour qu’il sente le membre que j’avais décidé de lui offrir après de doux préliminaires. Et nous regardions les autres sucer, lécher, embrasser dans leur splendide nudité volontairement exhibée sur la grande table de la pièce.

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Nos beaux mâles s’agitaient de plus en plus. Autour d’eux nous étions de plus en plus nombreux à les reluquer sans rester inactifs. Des gars étaient agenouillés à sucer, d’autre s’embouchaient sauvagement, les vêtements commençaient à être retirés. Comment rester habillés face à ce magnifique spectacle ?

Je le laissai déboutonner lentement ma chemise puis me l’ôter. Ses lèvres s’occupèrent de mes tétons, puis de mon nombril. Je n’eus pas la force de l’empêcher de déboutonner mon jean. Il abaissa ma braguette, fit apparaitre mon phallus qui n’était plus protégé par la poche du jockstrap depuis un moment.

Et enfin la pulsion anale s’exprima en totale liberté, de manière magnifiquement impudique : un petit jeune vint se placer au-dessus d’un autre couché sur le dos, écarta les cuisses et lui présenta son anus que l’autre regarda avec gourmandise.

Men's manor 2

Mon minet arracha ses vêtements pour, accroupi nu devant moi, dos excessivement cambré, retirer mes chaussures et mes chaussettes.

Il abaissa ensuite mon pantalon ce qui libéra entièrement mon sexe décalotté et baveux. Ses lèvres affamées se jetèrent dessus. Il me suça en grognant bestialement tout en finissant de retirer mon pantalon.

Pendant ce temps, sous mes yeux, les langues délaissaient les bouches pour plonger dans les anus.

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Un premier gars se mit en levrette sur la table. J’avais une vue plongeante sur son superbe cul tout lisse, musclé et galbé, dont le centre rosé frémissant aimantait les regards. Le soumis bandait à fond. Nous l’entendions supplier les autres de le prendre.

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Il ne fut pas déçu. L’enculade démarra, pour lui comme pour d’autres. Les plus impatients à se faire mettre prenaient les positions les plus lubriques, cherchant à attirer les beaux membres entre eux.

Men's manor 2

Un flacon de lubrifiant circula dans la pièce. Un couple nu commença à s’enculer, suivi d’un autre encore habillé, pantalon aux chevilles. Je ris en les voyant dans une si ridicule posture, mais je les comprenais ô combien !

Mon minet saisit le flacon au vol et s’enduisit l’anus. Son regard était si suppliant que je n’eus pas le cœur de lui refuser ce qu’il voulait. Dos contre la cloison, je m’enfonçai entre ses fesses et le limai au même rythme que ceux qui se donnaient en spectacle devant nous.

Men's manor 2

J’entrepris de le besogner doucement tout en admirant le beau spectacle si masculin. La pièce résonnait de grognements sourds et de gémissements extatiques. Elle était envahie du parfum animal des hommes en rut, suant et niquant sans se ménager. Au centre de la pièce et tout autour de nous les accouplements se multipliaient, des garçons entrant pour, réjouis par la beauté virile de l’exhibition, s’adonner à leur tour aux plaisirs charnels.

La sodomie était largement pratiquée. Certains enculés réussissaient à sucer une queue trainant ici ou là. Mais c’est surtout autour de la pièce que des affamés de sexe en bouche s’accroupissaient pour sucer ceux qui se faisaient prendre.

Men's manor 2

Le minet que je ramonais tranquillement n’échappa à la règle. Un jeunot petit et glabre vint s’accroupir devant lui et entama une première phase de revigoration de son sexe, certes gonflé, mais bien mollasson. Rapidement la hampe durcit et se redressa.

Je m’en voulus un peu de ne pas m’être occupé de son sexe moi-même mais j’étais trop occupé à harmoniser mes balancements avant avec ses balancements arrière : mon enculé co-dirigeait le coït avec un joyeux entrain. Comme en plus il appréciait que je le travaille des tétons, j’avais délaissé son sexe.

Je massai néanmoins ses bourses bien lourdes tandis que la bouche gourmande le suçait avec une belle énergie et un savoir-faire certain.

Les garçons devant nous commencèrent à éjaculer à tout va. Tous gourmands ! Les phallus se retiraient des fions pour venir asperger les visages ou les bouches ouvertes les plus proches. Une véritable laiterie de magnifiques taureaux !

Men's manor 2

Mon enculé déchargea d’un coup dans la gorge du suceur qui poussa un cri aigu de joie et de surprise. Il avala tout, sans rien partager, et nous quitta, heureux, après avoir succinctement nettoyé la queue.

Pas très collectif comme jeu ! Le groupe exhibe, lui, partageait la savoureuse récompense par des roulages de pelles sauvages alors que les derniers à se faire limer continuaient à se régaler.

Men's manor 2

Les derniers orgasmes enchanteurs… Nous continuions à admirer la scène, réunis par mon dard qui n’avait pas quitté le délicieux petit cul, mais qui ne s’agitait plus en lui. Le parfum spermique nous maintenait en rut. L’odeur corporelle tout autant : les gars s’étaient donnés à fond et les corps ruisselaient de sueur.

La pièce se vida d’abord de ses spectateurs. Je branlais tranquillement mon enculé qui roucoulait, qui tournait la tête pour m’embrasser, qui remuait du bassin lascivement pour prolonger les dernières sensations anales.

A regret il se décida à s’avancer pour déculer. J’eus droit à un long baiser amical de remerciements. Il me demanda si je voulais jouir. Je déclinai sa proposition, certain que j’aurai sous peu d’autres fesses à percer.

Nous nous décidâmes à quitter ce salon particulièrement hot. Je voulus prendre mes vêtements mais il me conseilla de les laisser là, dans un coin. Personne ne les subtiliserait.

Il les plia et les rangea soigneusement tandis que je réajustais mon épieu dans la poche de mon jockstrap.

Dans les dix minutes qui suivirent, entre le salon et le buffet, je me fis peloter dix fois le fessier et je dus m’écarter d’autant de frotteurs qui écrasaient leur sexe entre mes fesses dans l’espoir de me prendre.

Mon enculé en rigola :

– Si tu ne veux pas te faire mettre, il va falloir retirer ce jockstrap ! Ici il a une signification sans ambiguïté !

Je décidai de suivre le conseil et retirait mon sous-vêtement qui signifiait juste pour moi que je suis réversible. Je le passai autour de mon cou le temps de finir de me désaltérer et de manger, ce qui en fit rire plus d’un.

Après une coupe de champagne et quelques amuse-gueules, je pris la direction des escaliers après un détour vers le salon pour poser mon sous-vêtement sur mon tas d’habits. D’autres garçons se lutinaient avec autant d’ardeur et d’impudicité que les précédents. Je souris mais refusai leurs avances malgré mon érection croissante. Je voulais continuer mon exploration de ce manoir qui, vraiment, m’enchantait.

 

à suivre...

Tag(s) : #entre ils
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